mardi 30 décembre 2008

Droguée


Le problème avec la Droguerie c'est qu'elle porte trop bien son nom. Cette fois-ci l'addiction s'est portée sur leurs loupes. Un bout de plastique d'un côté, une griffe de métal de l'autre, entre les deux on glisse ce qu'on veut (papier, tissu, photo). Autre découverte, des boutons en nacre aux motifs japonisant, aïe le supplice de Tental... Première résolution de 2009 : m'en tenir à leur laine. Comme il faut faire les pelotes soi même dans la boutique avec un parapluie en bois ridicule dans lequel je me coince les doigts à chaque fois, ça calmera mes ardeurs dépensières.

L'Eee au lit

Monsieur Chamblanc, sachez qu'il est tout à fait possible de blogger et de tricoter et AU LIT en plus ! Suffit de poser l'Eee sur la couette et hop c'est parti. Et histoire de vous couper l'herbe sous le pied : mlf et tricot peuvent faire bon ménage, la preuve...

lundi 29 décembre 2008

Scarlatine time


Quoi de mieux pour les vacances qu'un affectueux streptocoque lové dans les amygdales ? Contrainte et forcée à la pédale wawa... Merci les tuto vidéo et le mode d'emploi de la Singer : tout de suite ça a de la gueule ! Bon, j'ai laissé la bête à distance, j'ai ramené que les aiguilles et les pelotes de laine, ça suffit amplement pour la rentrée sous antibios !

dimanche 28 décembre 2008

Orages d'été


Du coup sitôt rentrée, m'y suis remise. Piano, piano, un coussin ou deux à la faveur des petites averses estivales, mais sans le mode d'emploi de la bête, on frôle la couture "gros doigts" comme disaient mes ancêtres...

samedi 27 décembre 2008

Mauvaises langues...


Dernier jour à Pékin, le 8 juin 2008. Après une matinée à déambuler dans Qianmen à la recherche de pinceaux, estampes et autres cadeaux souvenirs, je suis prête à jeter l'éponge... Mais Wenxin ne renonce jamais. Elle a trouvé le cerf-volant dragon de G., elle veut dénicher ces fameux tissus traditionnels que j'ai passé une semaine à lui décrire dans les moindre détails... Nous entrons donc dans une boutique spécialisée, le marché St Pierre pékinois : une heure d'explications ! Puis un éclair dans le regard de la vendeuse qui se marre en allant dans un coin tout au fond du magasin. Elle sort alors six rouleaux de ce fameux coton coloré et je repars chargée de mes précieux coupons... Des mauvaises langues diront que tout ça dormira au fond d'un placard ! Bilan : j'ai ressorti la machine léguée par Tante J., la fée de l'aiguille, et hop, un blog !